Ne pas oublier George Walker Bush
Je récapitule ici...
Sur la gestion des attentats du 11 septembre 2001, la coïncidence de la déclaration de M. Rumsfeld du 10 septembre 2001, juste la veille des attentats, d'un « trou » de 2300 milliards de dollars dans le budget de la défense. Puis l'envol d'une partie de la famille de M. Ben Laden, quittant les USA par les airs dans les jours qui suivaient les attentats... n'aurait-il pas fallu les interroger en priorité ? Et, la confusion et les doutes persistants sur pourquoi et comment l'avion écrasé sur le Pentagone.
L'invasion de l'Afghanistan, une guerre bien contre-productive en ce qui concerne le terrorisme. L'invraisemblable fuite de M. Ben Laden, à mobylette, devant les soldats américains. M. Ben Laden qui n'est, d'ailleurs, toujours pas officiellement accusé d'être impliqué dans les attentats du 11 septembre.
La prison de Guantanamo, spécialement créée pour impunément torturer.
Le mensonge sur les armes de destruction massive afin de justifier l'invasion de l'Irak, ceci peu après que l'Irak ait décidé, fin 2000, de basculer le paiement de son pétrole du dollar vers l'euro. Puis la fausse excuse de l'installation d'une « démocratie » à l'occidentale dans une nation divisée.
Le renforcement d'un appareil sécuritaire dans le monde entier, au détriment de la liberté des individus. Des échanges de fichiers entre pays, des mesures dans tous les aéroports, qui ficheront et casseront durablement les pieds aux voyageurs. Des aéroports étasuniens qui fichent et maltraitent les voyageurs en transit. L'État fédéral des USA surveille et contrôle plus que jamais les individus, américains et non américains.
Le lancement d'un projet de « bouclier anti-missile », on ne sait pas très bien pourquoi mais le résultat est des tensions politiques entre l'Europe et la Russie.
La hausse historique de la dette publique des USA et l'augmentation, pour ce faire, du plafond d'endettement de l'État. La détérioration de l'économie étasunienne dont nous verrons les effets durant les prochaines années.